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valerian mazataud

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Le Devoir, Canada, 2019

Le Devoir, Canada, 2019

Bassin versant agua caliente, projets de la FAO. Paysage proche de Chiquimula, Guatemala.

A Olapa, village pres de Chiquimula, Guatemala, un champ de mais extremement pentu. Doroteo Guzman, employe du proprietaire, seme des haricots rouges entre les epis de mais qui sechent sur pied.

A Camotan, Guatemala, la FAO soutient un projet de retenu d'eau de pluie qui alimente un potager communautaire, ou l'on met en valeur des plantes autochtones et nutritives, et qui rend service ˆ 1200 familles de la zone. Lissandro Moralez et Walter Jose Aristondo Martinez, de la FAO, commentent le systme d'irrigation par gouttes, tandis que Marivel Gallardo, du groupe Grangera, cueille des fleurs de courges.

Non loin de Camotan, Maria Vilma Interiano Ramirez fait face a une retenue dÕeau de pluie construite avec lÕappui de la FAO.

Une fillette et sa grand-mere ans la municipalite montagneuse de Camotan, proche de Chiquimula, Guatemala.

Un homme nettoie un porte-bougie devant un portrait de Monseigneur Romero dans la Cathedrale metropolitaine Saint-Sauveur de San Salvador.

Un taxi passe devant l'Eglise El Rosario dans le centre de San Salvador.

A Candelaria de la frontera, Salvador, Hector Tejada arrose son parterre de roses. Sa femme est partie travailler aux ƒtats-Unis il y a onze ans. ÇAvant nous avions une entreprise de production de fleurs tous les deuxÈ, se souvient-il.

Ë El Camalote, au Salvador, Jose Luis Marin se tient au milieu de sa derniere recolte de mais, qui sera nettement insuffisante pour les prochains mois de la saison seche.

ÇÊOn ne fait pas dÕargent ici, on la dŽpenseÊÈ nous dira Ruben Ernesto Ramos, qui a passŽ 22 ans aux ƒtats-Unis, en Californie puis en Ohio. Exception qui confirme la rgle, il est rentrŽ le printemps dernier, ÇÊpor amorÊÈ et manifestement en moyens. Il a 42 ans, il voulait se marier.

Ë cote de la mairie, des adolescents de Candelaria de la Frontera pratiquent le breakdance tandis que d'autres s'affrontent au basket. Ici, le reve americain a encore de beaux jours devant lui.

En route pour le jardin communautaire de la communautee reculee de Las Playeras, Honduras, a une heure de Choluteca.

A Choluteca, un restaurant sert de cantine au poste de police du centre-ville. Ë une heure du Nicaragua et a une heure trente du Salvador, c'est une ville de transit, de migration, de traffic, mais aussi le coeur d'une des regions les plus touchees par la secheresse.

Du cote du village dÕOrocuina, la terre pentue de Margarito Alvarez, 60 ans, qui s'acharne sur les mauvaises herbes qui envahissent son champ de mais et de sorgho. Maigre comme un clou, il a perdu la plus grande partie de sa premiere recolte ˆ cause de la secheresse. Ç La prochaine sera meilleure si Dieu le veutÈ, dit-il tout simplement.

En route pour le jardin communautaire de la communautee reculee de Las Playeras, Honduras, a une heure de Choluteca.

Scene de rue ˆ Pespire.

Edas Contreras Funes, tout de noir vtu avec son chapeau de cowboy, grand manitou du coin pour les terres que sa famille possde et par lequel passe lÕappui quÕapporte ˆ la communautŽ, a San Jorge, Honduras.

Les responsables du Grupo Impulsor, le comitŽ dÕinitiative locale, San Jorge, Honduras.

Le Devoir, Canada, 2019

Le Devoir, Canada, 2019

Bassin versant agua caliente, projets de la FAO. Paysage proche de Chiquimula, Guatemala.

A Olapa, village pres de Chiquimula, Guatemala, un champ de mais extremement pentu. Doroteo Guzman, employe du proprietaire, seme des haricots rouges entre les epis de mais qui sechent sur pied.

A Camotan, Guatemala, la FAO soutient un projet de retenu d'eau de pluie qui alimente un potager communautaire, ou l'on met en valeur des plantes autochtones et nutritives, et qui rend service ˆ 1200 familles de la zone. Lissandro Moralez et Walter Jose Aristondo Martinez, de la FAO, commentent le systme d'irrigation par gouttes, tandis que Marivel Gallardo, du groupe Grangera, cueille des fleurs de courges.

Non loin de Camotan, Maria Vilma Interiano Ramirez fait face a une retenue dÕeau de pluie construite avec lÕappui de la FAO.

Une fillette et sa grand-mere ans la municipalite montagneuse de Camotan, proche de Chiquimula, Guatemala.

Un homme nettoie un porte-bougie devant un portrait de Monseigneur Romero dans la Cathedrale metropolitaine Saint-Sauveur de San Salvador.

Un taxi passe devant l'Eglise El Rosario dans le centre de San Salvador.

A Candelaria de la frontera, Salvador, Hector Tejada arrose son parterre de roses. Sa femme est partie travailler aux ƒtats-Unis il y a onze ans. ÇAvant nous avions une entreprise de production de fleurs tous les deuxÈ, se souvient-il.

Ë El Camalote, au Salvador, Jose Luis Marin se tient au milieu de sa derniere recolte de mais, qui sera nettement insuffisante pour les prochains mois de la saison seche.

ÇÊOn ne fait pas dÕargent ici, on la dŽpenseÊÈ nous dira Ruben Ernesto Ramos, qui a passŽ 22 ans aux ƒtats-Unis, en Californie puis en Ohio. Exception qui confirme la rgle, il est rentrŽ le printemps dernier, ÇÊpor amorÊÈ et manifestement en moyens. Il a 42 ans, il voulait se marier.

Ë cote de la mairie, des adolescents de Candelaria de la Frontera pratiquent le breakdance tandis que d'autres s'affrontent au basket. Ici, le reve americain a encore de beaux jours devant lui.

En route pour le jardin communautaire de la communautee reculee de Las Playeras, Honduras, a une heure de Choluteca.

A Choluteca, un restaurant sert de cantine au poste de police du centre-ville. Ë une heure du Nicaragua et a une heure trente du Salvador, c'est une ville de transit, de migration, de traffic, mais aussi le coeur d'une des regions les plus touchees par la secheresse.

Du cote du village dÕOrocuina, la terre pentue de Margarito Alvarez, 60 ans, qui s'acharne sur les mauvaises herbes qui envahissent son champ de mais et de sorgho. Maigre comme un clou, il a perdu la plus grande partie de sa premiere recolte ˆ cause de la secheresse. Ç La prochaine sera meilleure si Dieu le veutÈ, dit-il tout simplement.

En route pour le jardin communautaire de la communautee reculee de Las Playeras, Honduras, a une heure de Choluteca.

Scene de rue ˆ Pespire.

Edas Contreras Funes, tout de noir vtu avec son chapeau de cowboy, grand manitou du coin pour les terres que sa famille possde et par lequel passe lÕappui quÕapporte ˆ la communautŽ, a San Jorge, Honduras.

Les responsables du Grupo Impulsor, le comitŽ dÕinitiative locale, San Jorge, Honduras.

val@focuszero.com | MINIMAL