Agustin Perobal, père de Gerber Perobal dans un photomontage affiché sur un mur de la maison familiale.
À l'aéroport La Aurora de Ciudad Guatemala, les familes des travailleurs, majoritairement autochtones, attendent le retour des hommes. L'émotion est palpable, bien que discrete, lorsque ces derniers retrouvent leurs familles après des mois de séparation.
À l'aéroport La Aurora de Ciudad Guatemala, les familes des travailleurs, majoritairement autochtones, attendent le retour des hommes. L'émotion est palpable, bien que discrete, lorsque ces derniers retrouvent leurs familles après des mois de séparation.
Mariage proche du Lac Atitlan.
Gabrielle, 11 ans, sa mère Mayra Liliana Tezaguic, Kelvin, 7 ans, Delmi, 4 ans et leur père, un travailleur agricole guatémaltèque oublié par le système de santé du Canada, qui a choisi de garder l’anonymat.
Dans le hameau Cruz de Santiago, des femmes préparent des centaines de tortillas pour une fête familiale.
Dans la maison de Cesar
Face à l'Église de Saint-Esprit, Laurentides, deux travailleurs agricoles guatémaltèques anonymes, dont un blessé, employés de la ferme Lise Charbonneau, à Saint-Roch-de-l'Achigan.
À l'organisme ComuGuate, à Ciudad de Guatemala, des travailleurs guatémaltèques enregistrent leurs candidatures pour recevoir un visa de travail pour le Canada.
À l'organisme ComuGuate, à Ciudad de Guatemala, des travailleurs guatémaltèques enregistrent leurs candidatures pour recevoir un visa de travail pour le Canada.
Vu de Santiago Sacatepéquez.
Jorge Leonel Ajquejay Colaj a du lourdement s'endeter pour avoir le privilège de travailler un an et demi au Canada, loin de sa famille. Jorge Leonel Ajquejay Cola et sa famille
Jorge Leonel Ajquejay Colaj a du lourdement s'endeter pour avoir le privilège de travailler un an et demi au Canada, loin de sa famille. Il est ici avec sa fille Cindy, 9 ans, et son fils Brandon Leonel, 13 ans.
Chez elle, à Patzicia, Dora Marina Cua Cua, épouse de Jorge Leonel Ajquejay Cola, un travailleur agricole victime d'abus au droit du travail lors de son passage au Canada.
Jorge Leonel Ajquejay Colaj a du lourdement s'endeter pour avoir le privilège de travailler un an et demi au Canada, loin de sa famille. Cindy, 9 ans avec une des photos envoyée par leur père durant leur séjour.
Juan (nom fictif), dans un champ de maïs du hameau Chuiqul, près du Lac Atitlan. Il a été victime d'abus au droit du travail lors de son passage au Canada.
Paysage agricole près de Patzicia
Famille du jeune Gerber Anibal Perobal Buch, employé de ComuGuate et dont le père travaille au Canada depuis 20 ans.
Le voisin de Reginaldo Buch Tiney se presse de couper du fourrage avant la tombée de la nuit.
Dans l'église de Cruz de Santiago, en partie financée grâce au labeur des travailleurs agricoles au Canada.
À une heure au nord de la maison de Joaquina et Agustin, c’est le village de Cruz de Santiago tout entier qui vibre au rythme des travailleurs exilés. « Ici toutes les familles envoient un homme au Canada », témoigne Mayra Liliana Tetzaguic. Par un dimanche de novembre ensoleillé, on y célèbre une messe en chansons de trois heures pour célébrer deux jeunes diplômés. L’immense église, toujours en travaux, se construit peu à peu grâce aux dons des migrants agricoles, tel ce généreux paroissien qui offre une horloge à l’issue de la cérémonie.
À une heure au nord de la maison de Joaquina et Agustin, c’est le village de Cruz de Santiago tout entier qui vibre au rythme des travailleurs exilés. « Ici toutes les familles envoient un homme au Canada », témoigne Mayra Liliana Tetzaguic. Par un dimanche de novembre ensoleillé, on y célèbre une messe en chansons de trois heures pour célébrer deux jeunes diplômés. L’immense église, toujours en travaux, se construit peu à peu grâce aux dons des migrants agricoles, tel ce généreux paroissien qui offre une horloge à l’issue de la cérémonie.